Napoléon Pommier, San-Antonio

Napoléon Pommier, San-Antonio, avril 2000, Fleuve Noir.

Enfin je l’ai lu, il m’a fallu 10 ans pour lui sauter sur le poil à ce bouquin. Donc le tout dernier écrit par Frédéric Dard et le premier décoré par François Boucq.
Il y a beaucoup d’action, le rythme est frénétique et on assomme à tout va. Les malfrat comme nos héros…

Ils sont tous là : San-Antonio, Marie-Marie et leur petite Antoinette, Sa Majesté Napoléon IV, alias Béru et son Impératrice, la grosse Berthe, Pinaud, le vieux Lion de l'Atlas, Jérémie Blanc, aux prises avec Monosperme, le dévoyé de la famille, Mathias, le magicien du labo, M. Félix, la plus grosse queue de France, et des départements d'outre-mer, Félicie et sa blanquette de veau.

Et aussi : des trafiquants de came, des tueurs à gages, des tueurs sans gages, des oies blanches bonnes à plumer, des journalistes pourris, des princes criminels, sans omettre Salami, le chien surdoué….il y a 74 entrées de personnages dans ce gros bouquin !

Et le fin du fin se trouve à la fin, justement. Vu que Bérurier nous gratifie des aventures amoureuses et guerrières de son ancêtre Napoléon sous Le Premier Empire !

Une curiosité linguistique, le commissaire cause de natel, mot typiquement suisse qui signifie téléphone portable.

La phrase culte : Je la frime comme aucun crotale n’a jamais regardé un petit Mousse….pardon : une petite souris avant de la glouper

Avertissement sans frais : Les dames sont priées de carrément sauter les pages 173 à 175 (de l’édition P.Pocket)

A lire et relire d’urgence.

Pierrot