Marilyne de Boulogne par Michel VIGNERON
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Marilyne de Boulogne par Michel VIGNERON
Si vous avez envie de prendre une claque dans la gueule, ben ce polar là est fait pour vous..
Vraiment de l'écriture noire, un cynisme profond, l'auteur, Michel Vigneron est flic, il décrit la police sans maquillage, telle quelle, sans fioriture, et c'est très bien ainsi, on est pas dans la lignée des romans de Borniche ou de Van Lock, qui décrivait une police de choc mise en avant et souvent politiquement correct, non, là, nous sommes plus dans la police d'Olivier Marchal, qui en plus de l'intrigue, puisque là c'est une fiction, parle de l'âme des flics, de leurs caractères, de leurs déprimes, de leurs quotidiens.
Puis quand Michel fait dans le noir, c'est jusqu'au boutiste, pas un rai de soleil à l'horizon, mais c'est pas grave, moi j'en redemande.
On vit la progression, la descente aux enfer d'une femme flic, qui va se prendre de passion pour une enquête que ses collègues n'ont rien à battre, logique, c'est pas la première disparition de Marilyne Beauvois, nymphomane et cleptomane, elle est plutôt connue des service de police de Boulogne-sur-Mer, pour de multiples délits comme de l'exhibition, mais là, Sylvie Havrin décide de prendre l'affaire au sérieux, elle nous emmène naviguer en eaux troubles, dans ces eaux nauséabondes où l'on croise la pornographie crasse, la prostitution,la violence gratuite, la femme marchandise...
Ce qui fait peur, c'est que c'est inspiré de faits réels, on ne sait vraiment ou commence la fiction.
C'est Max qui m'a conseillé de lire Michel, il s'est pas planté, quand on a parlé du livre après, que je lui ai dit avoir pris une claque dans la gueule comme je le dis en début d'article, il m'a juste de faire attention, Boulogne K le deuxième, c'est pas une claque dans la gueule que je vais prendre, mais coup de pied dans les couilles...
Je vous tiendrai au courant...
Décidément, Ravet Anceau a bien raison de laisser la cartographie au GPS et de se consacrer aux auteurs de talent!
Vraiment de l'écriture noire, un cynisme profond, l'auteur, Michel Vigneron est flic, il décrit la police sans maquillage, telle quelle, sans fioriture, et c'est très bien ainsi, on est pas dans la lignée des romans de Borniche ou de Van Lock, qui décrivait une police de choc mise en avant et souvent politiquement correct, non, là, nous sommes plus dans la police d'Olivier Marchal, qui en plus de l'intrigue, puisque là c'est une fiction, parle de l'âme des flics, de leurs caractères, de leurs déprimes, de leurs quotidiens.
Puis quand Michel fait dans le noir, c'est jusqu'au boutiste, pas un rai de soleil à l'horizon, mais c'est pas grave, moi j'en redemande.
On vit la progression, la descente aux enfer d'une femme flic, qui va se prendre de passion pour une enquête que ses collègues n'ont rien à battre, logique, c'est pas la première disparition de Marilyne Beauvois, nymphomane et cleptomane, elle est plutôt connue des service de police de Boulogne-sur-Mer, pour de multiples délits comme de l'exhibition, mais là, Sylvie Havrin décide de prendre l'affaire au sérieux, elle nous emmène naviguer en eaux troubles, dans ces eaux nauséabondes où l'on croise la pornographie crasse, la prostitution,la violence gratuite, la femme marchandise...
Ce qui fait peur, c'est que c'est inspiré de faits réels, on ne sait vraiment ou commence la fiction.
C'est Max qui m'a conseillé de lire Michel, il s'est pas planté, quand on a parlé du livre après, que je lui ai dit avoir pris une claque dans la gueule comme je le dis en début d'article, il m'a juste de faire attention, Boulogne K le deuxième, c'est pas une claque dans la gueule que je vais prendre, mais coup de pied dans les couilles...
Je vous tiendrai au courant...
Décidément, Ravet Anceau a bien raison de laisser la cartographie au GPS et de se consacrer aux auteurs de talent!
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