l'embaumeur Dominique NOGUEZ
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l'embaumeur Dominique NOGUEZ
Présenté comme un chef d'œuvre par Beigbeder et Besson..
Ben je suis loin, très loin de partager leurs avis respectif..
Tout d'abord ce livre est soit disant un thriller, d'un nouveau genre, un thriller philosophique, alors de thriller, il ni a rien rien, pas de petites étincelles qui fait que tu ne peux pas lâcher le livre, là oui, pas de soucis, tu le lâches souvent...
Pour la philosophie il n'en a gardé que l'aspect chiant et rébarbatif...
De plus, la moindre des choses pour un écrivain, lorsque l'on veut faire d'une profession le fil conducteur d'un livre, on se renseigne..
Je n'ai rarement lu autant d'inepties sur la thanatopraxie ainsi que sur le monde du funéraire...
D'ailleurs il y a pas mal d'incohérence dans ce livre...
L'auteur nous fait pourtant croiser du beau linge dans son roman, comme l'excellentissime Mocky, mais citer des grands ne suffit pas à réussir un roman...
Auxerre, une petite ville à l'apparence tranquille. Christophe Régnier, le narrateur, prépare une anthologie des 'premières fois' : le premier strip-tease intégral à Paris, le premier emploi du mot 'joint de culasse', etc. Il vit avec une jeune femme charmante, Eglantine. Son voisin, le mystérieux M. Léonard, est thanatopracteur. C'est l'Embaumeur. Autour de lui, des événements tragiques (disparitions, crimes, agressions) vont se succéder à vive allure, mêlant flics, gitons, érotomanes, gagneuses... Dominique Noguez, qui a été le dialoguiste de Mocky, commet de multiples attentats aux bonnes mœurs. On est partagé entre le rire et l'horreur. Noguez, qui a enquêté sur le métier d'embaumeur, ne nous épargne rien : nous saurons tout de la façon de rendre un cadavre présentable.
Une citation (j'ai aimé ce trait ironique mais bon une phrase sur 348 pages..
Le don d'organe est peut-être ce qu'il y a de plus proche d'une vraie survie. Pour bien faire, cependant, il faudrait donner tous ses organes à la fois !
Ben je suis loin, très loin de partager leurs avis respectif..
Tout d'abord ce livre est soit disant un thriller, d'un nouveau genre, un thriller philosophique, alors de thriller, il ni a rien rien, pas de petites étincelles qui fait que tu ne peux pas lâcher le livre, là oui, pas de soucis, tu le lâches souvent...
Pour la philosophie il n'en a gardé que l'aspect chiant et rébarbatif...
De plus, la moindre des choses pour un écrivain, lorsque l'on veut faire d'une profession le fil conducteur d'un livre, on se renseigne..
Je n'ai rarement lu autant d'inepties sur la thanatopraxie ainsi que sur le monde du funéraire...
D'ailleurs il y a pas mal d'incohérence dans ce livre...
L'auteur nous fait pourtant croiser du beau linge dans son roman, comme l'excellentissime Mocky, mais citer des grands ne suffit pas à réussir un roman...
Auxerre, une petite ville à l'apparence tranquille. Christophe Régnier, le narrateur, prépare une anthologie des 'premières fois' : le premier strip-tease intégral à Paris, le premier emploi du mot 'joint de culasse', etc. Il vit avec une jeune femme charmante, Eglantine. Son voisin, le mystérieux M. Léonard, est thanatopracteur. C'est l'Embaumeur. Autour de lui, des événements tragiques (disparitions, crimes, agressions) vont se succéder à vive allure, mêlant flics, gitons, érotomanes, gagneuses... Dominique Noguez, qui a été le dialoguiste de Mocky, commet de multiples attentats aux bonnes mœurs. On est partagé entre le rire et l'horreur. Noguez, qui a enquêté sur le métier d'embaumeur, ne nous épargne rien : nous saurons tout de la façon de rendre un cadavre présentable.
Une citation (j'ai aimé ce trait ironique mais bon une phrase sur 348 pages..
Le don d'organe est peut-être ce qu'il y a de plus proche d'une vraie survie. Pour bien faire, cependant, il faudrait donner tous ses organes à la fois !
Re: l'embaumeur Dominique NOGUEZ
J'admire les personnes qui vont jusqu'au bout d'un livre même quand il est nul. Bravo
candy76- Messages : 12
Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 52
Localisation : Haute Normandie
Re: l'embaumeur Dominique NOGUEZ
Ah ces embaumeurs....
La couverture de ce bouquin a été reprise et coloriée de la revue "Bizarre" N° VI, novembre 1956 dont j'aimerais vous montrer la photo...mais j'y arrive pô!
La couverture de ce bouquin a été reprise et coloriée de la revue "Bizarre" N° VI, novembre 1956 dont j'aimerais vous montrer la photo...mais j'y arrive pô!
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